improvisation autour d un voyage desorganise

Bonjour a tous ,
Et bien honte a nous baroudeurs infidels , qui n avons tenu a jour ce pti blog...
Et oui on se laisse aller , on se laisse prendre au jeu du voyage ...
Depuis Serendipity beach et depuis Phnom Penh la vilaine , il y eu plein de choses
Il y a eu Mien-Mien , notre hote de Sihanoukville , dans cette petite stration balneaire ravagee par le tourisme de masse , l abrutisation de la clientele et la chute des commerces locaux , tout au sud de cette ville a Otres Beach  , nous avons ete accueilli comme des princes , nous avons profite de la Mangrove et des quelques dernieres plages desertes de sables fins , rescapees de linvasion des mechants promoteurs occidentaux
Et puis apres , nous sommes partis pour l horrible , la tres moche et trres insignifiante capitale , dont le nom sonne avec effroi Phnom Penh , mais la il semble que mon acolyte Benji en est deja fait etat , -ainsi que Serendipity Beach.....
Plus tard nous sommes remontes dans la region du Mondolkiri ,la vallee des collines , une region verdoyante , pleines de paysages ,
A notre arrivee sur les pistes tortueuses du Mondolkiri , nous n avons pas echappe a la tres populaire galere de transport , et oui sur ces routes tortueuses et sableuses , le car na pas resiste , a chaque montee , il nous fallait descendre , et laisser le fragile petit bolide prendre son elan pour remonter les cotes , a chaque descente , on pouvait remonter , mais qui dit descente dit montee....alors cest reparti on remonte a pied , ca tombe bien car il nous reste semble til quelques 40 kms....mais le bus abdique , il refuse de se soumettre a la route , il nous plante la , au milieu de .......nulle part , dans la jungle sur une route que lon ne pourrait pas vraiment qualifie de tres frequentee.....
Mais fin de lhistoire , comme toutes les histoires jusqu a present , quelqu un part au village et envoie des voitures , solides cette fois , pour nous conduire a Seu Monrom , la capitale d une des regions les plus sauvages et les plus bellesdu Cambodge .
Le soleil se couche sur les collines , en rougit leur courbe et nous , nous arrivons enfin...

Seu Monrom , en quelques mots cest une minuscule capitale , on dirait meme un village , des maisons en bois  avec une petite allure de western , ou le calme regne en prince .....et ou les routes ne ressemblent pas a ce que nous  nous appelons route.....
Ici cest tout simplement beau , les gens vous scrutent , vous observent , le tourime est loin d avoir envahi les lieux....
Dans le Mondolkiri , on sorganise un pti trekk de 2 jours chez Mme Lajungle . Vehicule local: l elephant ...
allez on essaie et nous voici parti fierement comme de bon petits touristes emerveilles sur le dos de deux gigantesques elephants , un autre couple de jeunes francais nous accompagnent : -4 Francais a dos d elephant-  , et la balade se fait lentement , tres lentement , tout doucement au rythme nonchalant des elephants ....Waouh cest trop chouette les elephants  , ils sont tous gentils et bien evidemment ceux ci sont tres bien traites par nos guides.
Ptite nuit dans un village ou ne vit qu une famille .....1 famille , ce nest pas vraiment un village? .
On installe nos hammacs - de l U.S Army , rien que ca- sous une hute en roseaux , un feu de bois , puis une nuit froide tres froide , vraiment tres froide , ou franchement on se passerait bien de ce fichu froid qui nous gelent les os....bouuuuuuuuuuhhhhhhhh , trop froid dans la jungle
Et puis apres les quelques jours dans le Mondolkiri avant de rejoindre le Laos , nous fimes une derniere halte a Kratie , une petite ville toute tranquille au bord du Mekong
Nous en profitions pour faire une ballade a bateau -pas de catamaran cette fois....-pour observer les dauphins d eau douce , spectacle de la ville
Kratie on s y detend car ce qui suit .....

salut les jars les defilles,

bon ben la on est encore passe a Pnohm Penh, c'est pas la peine, on viendra plus. c'est vraiment une ville insupportable avec la pollution et tout, si si vrai. En plus y'a des tas de gens dans la rue qui conduisent des tuk tuk et qui font chier toute la journee a te demander ou tu veux aller. T'en vient a changeer de trottoir pour qu'ils te foutent la paix.
Mais des fois t'as besoin d'eux pour aller quelque part, parce que t'as la femme de marcher 2 heures ou parce que t'as pas envie de passer deux heures a dire a ces mecs que t'as pas besoin d'eux et surtout pas envie.
Alors t'en prend un. Mais attention hein, avant de monter tu negocie et tout, passke sinon, t'es pas dans la merde en arrivant a destination.
Des foix que t'aurais fini de negocier, que t'as eu meme un prix correct 2 dollars pour 2km (vu les tarifs parisiens ca va), t'es monte, t'es meme arrive a destination (ca non plus c'est pas gagne, faut que tu saches ou tu vas, mais faut aussi savoir COMMENT on y va). et si tu sais pas et que le gars se perd, quand il te depose enfin apres avoir demander 3 fois, avoir fait 3 fois aussi le tour des dealers du quartier pour te proposer tout ce qui peut se trouver sur la place, apres avoir fait une embardee pour eviter un motard qui roule a tombeau ouvert avec une kalach en bandouliere. ben ton magasin il est ferme alors tu lui dis de te ramener au point de depart puisque c'est convenu dans le prix.

Il te ramene, et la, les 2 dollars se sont transformes en 10 dollars passke il a oublie l'anglais et t'affirme avoir dit 2 dollars aller 2 dollars retour et 6 dollars pour le temps qu'il a perdu a chercher ta putain de gare de train (y'en a qu'une dans la ville).

tu refuses, tu essayes de lui expliquer que tu n'es pas si con et tu lui tends 2 dollars en partant passk'il est deja en train d'appeler ses potes pour regler l'embrouille.

Donc on ira plus, c'est pas la peine, on prefere la seine saint denis c'est d'la bomb Bebe.

Un apres midi, nous louons un Hobby Cat (petit cata marrant) pour visiter les iles. la premiere prise de contact avec la mer de Ludi.
Des senstions, du plaisir et le bruit du vent et de l'eau.
Nous croisons plusieurs bateaux qui rentrent vers le port.
Nous depassons la 1ere ile.
Deja la plage est bien loin derriere et le vent fraichit.
Nous contournons la 1ere et mettons le cap sur la seconde ile.
La mer devient plus agitee, parfois des creux de houle font plonger le bateau et nous evitons le desalage de peu.
Ludi vient a l'arriere et on s'attache pour pouvoir remonter a bord si on tombe a la mer et que le bateau continue.
La cote est maintenant tres loin et l ile que nous voyons est encore a plus d'un kilometre.
La houle devient reguliere et le vent souffle par rafales.
Il ne fallait que la conjonction de deux moments, 1 creux qui fait plonger le flotteur droit et une rafale qui fait basculer le bateau.
Ludi tombe a l'eau, je la suis de pres.
Sur le moment, nous riions beaucoup, mais rapidement, le bateau se retourne completement et derive, balance par la houle.
Nous nous placons sur un flotteur, face au vent et essayons de le relever.
Puis a l'aide de l'amarre, nous essayons de soulever le flotteur oppose.
A chaque tentative, la houle rabat le bateau sur l'eau et nous tombons.
Pendant plus de 30 minutes, nous nous epuisons en vain a relever ce bateau de merde.
Parfois, dans un creux de houle, nous sentons ce con de mat qui tape au fond de l'eau, mais le reste du temps, nous derivons en paralelle avec la plage.
Il faut se rendre a l'evidence, il faut de l'aide.
C'est curieux comme une situation peut se compliquer en un instant quand on tente de la solutionner. Il m'a suffit de dire "regarde si tu vois un bateau" pour que Ludi comprenne que c'etait la merde et qu'on pouvait y passer la nuit.
D'autant qu'il n'y avait plus un seul puta de barco qui rentre vers ce con de port!!!
L'ile est encore trop loin, surtout a la nage, la plage n'en parlons pas et le soleil nous donne encore deux heures sachant qu'il faut au moins une heure pour rentrer sur ce bateau sans lumiere.
Je monte sur le flotteur, au loin un bateau de peche fait route vers le large. Il pourrait nous croiser mais rien n'est sur.
Commence alors une longue attente, les yeux au loin, nous faisons de grands signes pendant un temps qui nous parait interminables.
Le point bleu de la proue ne grossit-il pas?
5minutes, 10 minutes, 20 minutes!
Aucun signe du bateau nous rassurant.

Mais il semble grossir.
Oui Il s'approche! Nous a t il vu? Toujours aucun signe. Mais il est plus proche, c'est sur, et il doit nous voir. Un des pecheurs nous fait enfin signe. Ouf nous ne passerons pas la nuit seuls au milieu de l'eau.
Il nous aborbent, lancent une amarre et nous hissent a bord.

Ensuite viens le delicat probleme de retourner notre cata plus tres marrant (desole elle est facile)
A la premiere tentative, le mat gene la manoeuvre et manque de passer sous les helices du bateau de peche.
Puis c'est dans les cordes plongeant sous l'eau pour tenir de plaques de metal depuis le bateau qu'il se prend et commence a forcer.
1 fois, 2 fois 3 fois, et c'est la bonne, le bateau se retourne enfin et retombe sur les flotteurs mais malheur, la voile est dechiree a trois endroits...
Pas catastrophique, mais la plage est loin. Par chance le vent nous prte dans le bon sens, il nous faudra du temps pour rentrer, droit sur la plage que nous longerons ensuite jusqu'au quai.
Le retour fut heureusement agreable, les tensions et inquietudes redescendent.
Et la plage est tellement belle.

Quelques mots sur Sihanoukville, une cite balneaire au sud du Cambodge, et particulierement un endroit tres touristique nomme Serendipity Beach.

IL NE SE PASSE RIEN A SERENDIPITY BEACH.

L occident a personnellement ou non, installe ici une extension de ce qu'il appelle lieu de vacances et qui n'est que le deplacement grossier d'un mode de vie qui le caracterise.

Procedons a quelques definitions :

Ici : c'est le Cambodge, un pays qui tente de se sortir de la misere qui suit des annees d'Histoire tourmentee, des annees de guerre et de repression (pol pot et les kmers rouges, les mines antipersonnel et j en passe). Un pays qui possede une culture millenaier, qui possede ses coutumes, sa religion, sa cuisine, son sourire et mille autres details. Un pays qui a a offrir a la curiosite, toutes les differences qui sautent aux yeux.

Un lieu de vacances : c'est avant tout oublier ce que l'on est dans la societe que l'on frequente toute l annee. oublier ce qui fait notre quotidien, nos habitudes, nos contraintes, nos besoins futiles qui occupent notre esprit 11 mois par an tant il nous parait impossible de vivre sans. Bref un lieu qui peut nous etre inconnu ou familier mais qui tranche avec notre mode de vie pendant quelques semaines pournous faire oublier les raisoms aui nous ont amenes ici.

Un mode de vie : ce sont justement  toutes ces habitudes, ces facons de faire qui sont propres a une personne, un groupe de personnes et par extension, a une societe>

Que se passe t il a Serendipity Beach?

- Les touristes consomment des produits Europeens ou americains, ou bien des plats cambodgiens limites a 3 ou 4 possibilite adaptes a leur gout, lave des epices et des doutes.
- Les vendeurs ambulants vendent des souvenirs des 4 ans ou des massages des 12 ans.
- Les mendiants appellent la pitie 8 a 10 fois par heure en arpentant la plage toute la journee sur les fesses puisqu ils n ont plus qu une jambe.
- Les spectacles de rue enflamment la plage.
- Les tables individuelles disseminees veillent a eviter melanges et rencontres, et la musique internationale couvre les conversations qui percenraient.
- Meme le nom des bars est anglo-saxon ou francais. meme le nom de la plage, comble de l ironie, "Serendipity Beach" est revendique par Chuck, un americain qui menace de proces ceux qui en font une utilisation commerciale illegale!!!

on est loin de Otres Beach l'insouciante, a 5 km de la.

8 kms de route bordee d hotel en construction, il semble que le temps du tourisme de masse se rapproche.
Angkor, c est une image lointaine, une icone de la culture Khmere. on n y pensait meme pas il y a un mois. Aujourd hui, on se ballade dans ce temple, perdu entre deux jungles, d un cote la nature interdite et minee, de l autre le royaume du dollar.

Angkor Thom
le temple ne se vide jamais, moines, groupes folkloriques et touristes laissent peu de temps pour s asseoir, respirer, reflechir, sentir.

parfois pourtant, on capte un instant, un baiser

Un sourire...

L apres-midi est reservee a Angkor Wat . L immense temple se profile devant nous fierement . Une foule demesuree de touriste baigne l horizon d Angkor Wat .Nous decidons de ne pas prendre l entree principale , un petit chemin nous menera dans les jardins .

Un peu plus loin  , une maison , et des enfants cueillant des fruits perches dans les hauteurs des arbres a l aide de longues branches de bambou , ils nous invitent a participer a leur petite cueillette , nous offrent des fruits , ils ne nous assoment pas du terrifiant 'one dollar '. Quelques sourires , et nous rejoignons les longs couloirs du temple .

Angkor , c est aussi le plaisir de s asseoir sur la pierre , de constater les siecles passes , de revisiter la culture Khmere .

Parfois le touriste se motive et fait le spectacle sur des marches de 40-50 cm de haut

Chacun part de son cote , nous nous retrouvons a la sortie , a la recherche de calme. apres quelques minutes loin de l agitation,

Surprise...

enfin nous rejoignons la sortie, un groupe d enfant joue avec nous indifferent au spectacle d Angkor

7h30 RDV devant l agence de voyage , un bus tout climatise nous attends la , il va nous emmener au Cambodge.

Nous n avons pas de montre , n avons aucune idee de la duree du voyage , on se laisse porter vers le Cambodge....

De ces longues journees de voyage il n y a generalement peu de choses a raconter , elles sont insignifiantes , on ne voit defiler que des paysages, mais ce qui nous attendait etaitbien different....

Nous arrivons a Poipet , poste frontiere entre la Thailande et le Cambodge....On s arrete visa et tout le tralalala.Non ce n est ni l attente , ni les visas , ni le transit que nous retiendront

Bienvenue au Cambodge , Poipet , sur votre droite un casino , "Life is a game " dit il , a ses pieds c est le regne de la misere , de la pauvrete , la ville est une decharge , ou les enfants sont en haillons et marchent nus pieds , sur un sol miserablement sale.

Face a nous pendant pres de deux heures , le spectacle de la pauvrete va se derouler , dans sa plus simple normalite , dans sa plus grande humilite. Et nous , nous resterons la , silencieux.

Qui sommes-nous , quand la misere se livre a vous dans sa plus intime verite ? On reste sous l emprise du silence

Et pourtant on comprend que cette misere a une vie , elle a ses sourires , des enfants riants , souriants , chantants en ramassant les dechets de la voie publique pour revendre plastiques et cartons .

Ce n est pas une pauvrete sur laquelle on s apitoie , c est un autre monde , d autres conceptions , d autres valeurs .Ici on est heureux differement , la pitie n a pas de sens . Il faut accepter , comprendre et apprivoiser  cette autre conception de la vie , du bonheur , et de l enfance . Comprendre cette verite culturelle c est aussi faire un pas vers la connaissance , l indulgence et l acceptation de nos differences .

Au revoir Ko Chang ......

Le jour se leve et nous on traine , dur dur le voyage pour arriver jusqu a toi Bangkok!

Hier soir , premieres impressions de Kao San Road , qui a dit Ah Horreur des touristes!Ah du bruit partout!Ou sommes nous? Dans un quartier branchouille occidentaliseeeeeeeeeeee!Bouh !

hagards, nous avancons, sac au dos au milieu des neons clignotants qui rivalisent  despace et de lumiere pour attirer le touriste. Musiques tonitruantes, pepes leopards et partout loccident qui construit sa fete. 300 metres de bruit, de lumiere, de magasins a bidules, de dreadlogueurs, tatoueurs, pierceurs. Loccident est la, largent est roi! Courage, Fuyons!

Allez allons vite nous perdre dans Bangkok , voir ce que ca donne en dehors des touristes!Tiens un temple! Allez on rentre , et c est a ce moment qu une jeune femme nous aborde gentiment, elle discute , nous raconte Bangkok , elle nous devoile sa capitale avec ses mots .Puis elle nous conseille une petite visite  en bateau sur la riviere de Chao Phraya , en plein coeur de Bangkok . Pourquoi pas? Allons voir.....

Bienvenue dans l autre Bangkok , sur les flots! Des maisons sur pilotis , ou misere et aisance font vraisemblablement bon menage...

Quelle est calme ta riviere Bangkok , elle est bordee de jungle , de silence , on dirait un monde imaginaire !Tout est beau , tout est calme ....parfois des pilotis abandonnes , en ruine , vetustes , et desempares regarde les autres tout propres tout decores!

A chaque mouvement de la pirogue , on nous salue , on nous sourit , on nous ignore...une petite vie autour d une grande riviere!

Un iguane sur la rive , nonchalament installe , prend la pause et le soleil , indifferent, il ne nous regardera meme pas!

Et la jungle berce la balade , avec tout son petit monde animalier en concert!

Un peu de magie , dans la tentaculaire Bangkok !!!!!

Au detour d une riviere, la jungle plus epaisse et la longue marche qui n en finit plus. toujours plus haut, toujours plus dense, avec a peine une eclaircie de feuillage lors de la traversee dune riviere.

la fatigue se fait de plus en plus sentir et plus inquietant, le soleil de plus en plus bas dans le ciel. a peine quelques traces d une main humaine.

Impossible de faire demi tour, nous avons deja trop marche, et perdu les reperes que nous vons cru avoir.

la riviere qui nous conduirat au retour, est peut etre encore loin. les premieres lueurs du crepuscule sont deja la et nous sommes deux, seuls dans le vert.

Bonjour a tous ,
Ca y est nous avons le blog , il etait temps!
Une petite semaine de farniente au bord de l eau, histoire de passer le reveillon du jour de l an les pieds dans l eau et le corps a 32 degres (hihi). Koh Chang et sa jungle centrale autour de laquelle s ebattent les touristes rouges de soleil et caches derriere les neons des bars a la mode asie en mouvement.
mais c est beau quand meme,

n s est meme fait des amis peu communs...

Pour vous situer , nous etions a Koh Chang a l est de la Thailande , une ile pleine de touristes, pleine de bruit, mais aussi bordee d une mer transparente  , du sable fin , et on a reussi dans cette petitre jungle a trouver une petite plage encore presque deserte, seulement un vieux van VW hippi arrete la et sans doute jamais repare (pas la motive).

Alors nous on sest assis sur cette petite plage , un des derniers ptis secrets bien gardes de l ile ,
et on a pense a vous
a Paris
au froid
au train train
et on sest dit

"On est quand meme bien la '".

Ah oui, quand on est au milieu des touristes, c est difficile de s echapper. On a tente un truc, bon c etait pas gagne, mais la! on s est retrouve a Aquasplah Thailande avec la panoplie du gentil plongeur sous le coude et vlan, au milieu des plongeurs dans 3 metres d eau revenant au rythme de la sirene du bateau. une premiere experience de la vie du touriste en vacance qui renforcera les envies pour la suite du voyage et ca devrait se voir dans les lignes de la prochaine fois.

On essaiera aussi de trouver un endroit ou il faut pas trois plombes pour telecharger des photos.
ca mettra un peu de gaitee et de bonne humeur dans ce blog.

bisous a tous
ludi et ben